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Les données complémentaires à acquérir

  • Gaia ESO Survey (GES), toutes les populations stellaires étant concernées
  • Apogee/SDSS, et autres données spectroscopiques existantes
  • ESO- Large Programme TOPoS visant les étoiles naines faibles en métaux
  • VVV, IPHAS/VPHAS, GALEX, WISE et autres données photométriques multi-longueur d’onde
  • Données de sismologie (Corot, Kepler...)
  • Fréquences d’oscillation : CoRoT, Kepler et peut-être, dans le futur, PLATO.
  • Masses : données sol pour les étoiles de systèmes binaires (SOPHIE/OHP, programme en cours).
  • Autres données de structure interne : spectroscopie haute résolution, interférométrie...
  • Rotation stellaire : données spectro. à haute résolution et haut SNR (SOPHIE@OHP, HARPS@ESO)
  • Projet de numérisation NAROO couplé à l’astrométrie du système solaire et au catalogue Gaia
  • Données radar (collab SYRTE, IRAP, UCLA). Données radar test de RG. Détermination de masses d’astéroïdes données sol
  • Astrométrie des astéroïdes géocroiseurs (réseau Gaia-FUN-SSO) et autres objets critiques
  • Données complémentaires sur les exoplanètes
  • Construction des référentiels célestes : des programmes d’observation au sol sont déjà en cours, d’autres prévus pour ces différentes études durant toute la mission.

Enfin, il faut de nouveau insister sur le besoin massif en données spectroscopiques en soutenant des projets comme MOONS, WEAVE, 4MOST, en rappelant l’environnement concurrentiel avec le projet australien Hermes débutant en 2014 avec en vue l’obtention de la composition chimique pour un million d’étoiles.